La présidence de la République a annoncé la constitution du nouveau gouvernement, après la confirmation de Sifi Ghrieb à son poste de Premier ministre.
Quelques changements ont été apportés dans le nouvel Exécutif. Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, remplace son collègue Brahim Merad au ministère de l’Intérieur. tandis que ce dernier a été promu au rang de ministre d’Etat, chargé de l’Inspection des services de l’Etat et des Collectivités locales.
Mohamed Meziane quitte le ministère de la Communication, pour reprendre du service vraisemblablement dans son secteur d’origine, la diplomatie. Il est remplacé par Zoheir Bouamama. Le ministre du commerce intérieur, Tayeb Zitouni, a également été remplacé.
A la Culture, Malika Bendouda prend ses quartiers à El-Annasser, en remplacement de Zohir Ballalou.
N. D.
Le changement dans la continuité.
On n’y comprend rien, moins qu’avant.
Je me résigne à rester dans mon rôle de spectateur comme la majorité.
Le changement dans la continuité et la continuation.
On n’y comprend rien, moins qu’avant.
Je me résigne à rester dans mon rôle de spectateur comme la majorité.
Conserver Rezig et Walid Sadi ainsi que le ministre de la jeunesse prouve que les 7 adolescents qui ont pris la poudre d’escampette avaient raison. Bonne médiocrité!
« Des changements limités dans la composition du nouveau gouvernement annoncé ce dimanche » titre R. N..
je pense que les changements limités montrent clairement que tebboune et son équipe réduisent leur « ambition » *à gérer le quotidien sans plus, alors que les patriotes algériens veulent être embarqués dans une odyssée, i. e. un projet de société, qui les extirpe de la gadoue dans laquelle ils pataugent.
en effet, tant que nos augustes dirigeants n’auront pas compris que les algériens ont besoin de visionnaires et non de gestionnaires, nous continuerons à tourner en rond …… En « Attendant Godot ».
PS: je persiste et signe: l’anomie qui caractérise la société algérienne contemporaine et qui ne sera pas dépassée par un jeu de chaises musicales, est, essentiellement due à :
-l’absence d’une élite capable de donner l’exemple et de remettre en cause, entre autres, la prégnance remarquable de la derwacha (via une lecture archaïque de la religion) sur la société algérienne dans son entièreté.
et/ou
– plus probablement, à une incompétence flagrante de nos augustes dirigeants qui ne voient pas plus loin de le bout de leurs nez et ceci, dans tous les domaines où, paradoxalement, la maxime « gérer, c’est prévoir » est un must.
Wa el fahem yefhem.
* je pense, contrairement à nos augustes dirigeants, que la vie ne se résume pas à une histoire de réalisations et de progrès économiques, mais la vie ne s’accomplit que si elle est pleinement humaine et l’humain ne se réduit pas à un …………. tube digestif ambulant doublé d’un zombie décérébré.
wa re el fahem yefhem.
Qd tu changes bcp de gouvernements et de PM, c est que ça tourne pas comme il faut et peut être de pis en pis concernant la stabilité du pays, il ne faut pas donner le pays à géré et à gouverner par des incompétents voir des corrompus, ils ne sont pas responsables eux devant le peuple algérien, celui qui l est c est bien celui qui les nomme donc le président.